Alice Dourlen développe depuis 2011 un projet musical sous le nom de « Chicaloyoh », elle a depuis sorti une dizaine d’albums, effectué plusieurs tournées mondiales, des résidences et des ateliers, notamment autour des rêves, pour les enfants.

                                        
Son projet, entamé en 2011, n’a jamais cessé d’évoluer, au gré de ses désirs et de ses rencontres.
Délaissant progressivement les territoires folks de ses débuts, elle s’est petit à petit tournée vers des ambiances inspirées de ses voyages et de ses songes, tout en conservant la narration onirique qui est depuis toujours sa marque de fabrique.

Minimaliste dans l’espace qu’elle laisse à l’imagination, psychédélique pour les territoires inhabituels vers lesquels elle entraîne l’auditeur, sa musique est un décor étrange pour d’innombrables délires autour de la chair, la folie et la perte de soi. Enregistrements de bruits de rue, objets métalliques dont les frôlements et les chocs sont amplifiés, sonorités synthétiques projetant hors de la zone de confort, chant abandonné… tels sont les outils utilisés par Chicaloyoh pour vous attirer dans sa rêverie tordue. Ses concerts s’approchent plus d’une performance inclusive, aux limites de la musique, de la littérature et du théâtre. Également artiste visuelle, elle a pu montrer ses peintures ou installations lors d’expositions, comme dernièrement à la galerie d’art contemporain « La Gâterie » à la Roche-sur-Yon. Son exposition nommée « L’inventaire des disparitions » traite de la disparition des oiseaux, avec en vitrine une pluie d’oiseaux morts qui a permis d’interroger les passants et des classes venant visiter l’exposition.
Le sujet ne cesse de ressortir au fil des années à travers ses créations.

Elle a créé dernièrement son premier spectacle jeune public « Hablame Cosita » à partir de 3 ans, soutenu par la Soufferie à Rezé, La Carène à Brest et le VIP à Saint-Nazaire.

https://chicaloyoh.bandcamp.com/


Retour en haut